texte trouvé sue le net sur la scatologie:
Elle est sortie de la chambre et s'est assise sur les toilettes en laissant la porte ouverte.
Viens me voir, me dit-elle. Je me lève à mon tour et m'approche de l'encablure.
Allonge-toi, sur le dos, la tête vers moi.
Je suis allongé, les bras le long du corps, je vois l'extrémité de ses pieds légèrement derrière ma tête.
Ouvre la bouche, en grand !
Elle se lève et vient s'accroupir au dessus de moi. Lentement, elle descend en maintenant ses fesses écartées jusqu'à les coller sur mon visage.
Ma bouche entoure largement son anus pour former comme une sorte ventouse hermétique.
Machinalement je plaque mes mains sur ses cuisses comme pour la retenir.
Elle comprend mon attention et me saisit les poignés. Elle me rassemble les mains ainsi jointes sur la poitrine en continuant à les maintenir fermement.
Je sens qu'elle pèse davantage sur mon visage pour m'empêcher de bouger.
Je suis coincé, impossible de m'échapper, impossible même de refermer la bouche.
Elle savoure cette instant, je suis en érection.
Ca arrive mon chéri, il va y en avoir !!
Cette phrase me fait l'effet d'un électrochoc. Je percois le sang battre sur mes temps, mon coeur d'accélère.
Son anus se dilate, elle laisse échapper un pet qui vient résonner dans la cavité buccale mais il ne se passe rien pendant un laps de temps qui me semble infini, puis soudain je sens quelque chose.
En quelques secondes j'ai la bouche totalement remplie d'une pate tiède, molle et visqueuse.
Elle se soulève légèrement. Mes lèvres sont a présent recouvertes mais le mol étron continu à s'ammonceler dans un équilibre précaire.
Il finit par basculer lentement et me recouvre une partie de la joue jusqu'au front masquant un oeil que j'ai à peine eu le temps de fermer.
J'entrevois son anus, d'où surgit un deuxième étron qui semble encore plus impressionnant. Elle n'a même pas besoin de pousser, il vient s'écraser sur l'autre joue encore intacte.
Elle se rassoit sur le siège des toilettes et m'observe. J'ai du mal à respirer car j'ai le nez en partie obturé.
Met tes mains à plat au dessus de ton visage !
Je place les mains comme elle m'indique, à quelques centimètres de moi.
Alors que je ne m'y attend pas, elle lève ses pieds et vient les poser sur mes deux mains. Elle appuye fortement, je sens la merde s'écraser sous mes doigts, s'enfoncer davantage dans ma bouche et s'étaler sur mon visage.
Elle entame alors un léger mouvement de rotation. Au bout de quelques secondes je suis totalement recouvert.
Elle repose pieds sur le sol.
J'aime te chier dessus, me dit-elle, et surtout te recouvrir.
Elle attrape du papier, s'essuie consciencieuseme nt, puis se lève et tire la chasse avant de sortir en m'enjambant.
à 19:28